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La moutarde me monte au nez ! Et vous ?


Le 9 février 2014

Bonjour

Voici, exceptionnellement, une compilation d'articles sur une sujet peu réjouissant, mais que l'on ne peut se permettre d'ignorer. Elle se destine avant tout aux abonné-e-s québécois-es, bien que le sujet soit digne d'intérêt pour quiconque a à cœur la protection de l'environment.

Jean Hudon
Coordonnateur du Réseau arc-en-ciel de la Terre


Revenu Canada enquête sur 7 organismes environnementaux
http://on.fb.me/1bL2Way
Plutôt que de s'attaquer au réchauffement climatique, le gouvernement Harper s'attaque aux écologistes!

Attention. Une affaire inquiétante révélant une fois de plus le mépris du gouvernement Harper pour la démocratie et l’environnement. Non satisfait de défendre bec et ongle son industrie pétrolière, voilà que le gouvernement fédéral s’attaque aux organisations environnementales par le biais de Revenu Canada. En effet, Radio-Canada a appris que Revenu Canada enquêtait sur la Fondation David Suzuki, la Fondation Pembina, Équiterre, Tides Canada, Ecology Action Centre, West Coast Environmental Law et Environmental Defence.

L'Agence cherche à savoir si les sept organismes sans but lucratif (OSBL) respectaient les règles qui limitent le financement d'activités politiques. En vertu de la loi, les OSBL ont le droit d'utiliser un maximum de 10 % de leurs ressources pour des activités politiques. Si Revenu Canada juge que les groupes ont dépassé les limites, leur statut en tant qu'OSBL pourrait être révoqué, ce qui causerait leur fermeture de facto, disent ces groupes.

Une aberration totale des plus choquantes qu’il importe de dénoncer. SVP, partagez.

Revenu Canada enquête sur sept groupes écologistes - Radio-Canada

Le fisc accusé de cibler les écologistes - Le Devoir

Pour en savoir BEAUCOUP plus sur le désastre bitumineux planétaire si cher à Harper...

Ensemble contre les sables bitumineux !

L’oléoduc Énergie Est : pure folie bitumineuse
Selon un nouveau rapport publié par l’Institut Pembina — le projet d’Énergie Est de TransCanada entraînerait une « monstrueuse » augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES) au Canada. L’étude démontre que la production de pétrole des sables bitumineux nécessaire pour alimenter Énergie Est pourrait générer annuellement jusqu’à 32 millions de tonnes (Mt) de GES ou l’équivalent d’ajouter 7 millions de véhicules sur les routes pendant 50 ans. En comparaison, ces émissions représentent près de 40% de la totalité des émissions de CO2 au Québec (environ à 80 Mt). Ce projet est de la folie pure et surtout un excellent moyen de faire frire la planète… Un gigapipeline - Vous pensiez qu’on avait atteint le fond du baril avec le projet d’inversion de la ligne d’Enbridge? Et bien, détrompez-vous, car Enbridge cachait un autre pipeline encore plus gros… En effet, Énergie Est est LE plus gros projet de pipeline du Canada, un giga-pipeline qui transporterait 1,1 million de barils de pétrole par jour et serait 30% plus gros que le projet KeystoneXL. Énergie Est partirait de l’Alberta et traverserait le Canada et Québec (et d’innombrables rivières) et menacerait l’eau potable de millions de personnes. Tout ça pour permettre l’expansion de la production du pétrole sale issu des sables bitumineux et son exportation un peu partout sur la planète. Or, les sables bitumineux sont déjà la source de pollution au carbone enregistrant la plus forte croissance au Canada. Québec doit se réveiller - Les chiffres sont sans équivoque et Québec ne peut que refuser de laisser passer cet oléoduc sur son territoire s’il est sérieux dans sa volonté de diminuer les émissions de GES. S’il refuse de rejeter immédiatement ce projet, le gouvernement du Québec devra au moins suivre l’exemple de l’Ontario en menant sa propre évaluation environnementale et en considérant l’impact climatique de ce projet. Québec ne peut se défiler comme il a tenté de le faire avec la ligne d’Enbridge et il doit rapidement annoncer ses couleurs. CLIP


« Je veux un engagement clair du gouvernement du Parti Québécois : il n'y aura jamais d'oléoduc TransCanada qui transportera 1 million de barils de pétrole brut par jour sur nos terres agricoles, à travers nos rivières et nos forêts, près de nos villes et villages et surtout, à travers le fleuve Saint-Laurent, source d'eau potable pour des millions de Québécois. Et que les autres partis se prononcent aussi clairement à ce sujet. Ce serait essentiel de savoir où tous les partis logent en matière d'oléoducs et d'exploitation pétrolière avant d'aller voter. »

– Céline Parent-Pomerleau - Tiré de http://on.fb.me/MD3w0t

Le PQ a déjà donné son feu vert à l'inversion du pipeline d'Enbridge, ce qui fait de ce parti un complice du réchauffement climatique mettant en péril l'avenir de milliards de personnes. Les électeurs devront se souvenir de cette giffle au visage de tous les Québécois-es qui ne voulaient pas du gaz de schiste et qui ne veulent pas plus de l'inévitable désastre écologique que ces pipelines de pétrole bitumineux archi toxique vont tôt ou tard provoquer - plus de 800 million de litres de pétrole se sont déversés à ce jour des pipelines qui finissent tous par percer et c'est sans compter la pollution générée par le raffinage de ce pétrole des sables bithumineux qui se fera en partie à Montréal... une autre réalité que la population ignore, mais que connaissent bien les gens de Détroit : le coke et sa pollution. Quand viendra le temps, VOTONS Québec Solidaire et DÉBARQUONS le PQ du pouvoir...

Sables bitumineux: l'air du Québec inquiète

MONTRÉAL – Déjà précaire, la qualité de l’air de l’ensemble du sud du Québec pourrait être menacée si les projets de pipeline d’Enbridge et de TransCanada visant à acheminer du pétrole des sables bitumineux de l’Alberta vers le Québec devaient se réaliser. C’est le constat dressé par un rapport rédigé conjointement par Greenpeace et l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQPLA) dont les conclusions ont été dévoilées lundi. Le document avance que le raffinage lourd des sables bitumineux entraînerait le rejet en plus grande quantité de polluants atmosphériques, dont le monoxyde de carbone, les composés organiques volatils et le benzène.

En entrevue, le porte-parole de Greenpeace, Patrick Bonin, a rappelé que cette situation ne ferait qu’augmenter le problème de la qualité de l’air dans la région métropolitaine ainsi qu’à Québec. Selon lui, les frais de santé liés à la mauvaise qualité de l’air ont été estimés à 2 milliards $ en 2008 et le raffinage de pétrole lourd contribuerait à pousser ce montant à la hausse. «On a déjà près de 2000 personnes qui meurent prématurément au Québec en raison de la mauvaise qualité de l’air, martèle-t-il. C’est nécessaire d’améliorer la qualité de l’air et non aller dans une direction inverse.» M. Bonin craint également que le projet d’inversion du flux de l’oléoduc d’Enbridge ne provoque une augmentation du coke de pétrole, un résidu du raffinage. «C’est du pétrole que les raffineries ne sont pas en mesure de raffiner pour envoyer dans les véhicules, par exemple», explique le porte-parole de Greenpeace. Ce dernier rappelle que cette poudre toxique est utilisée par les cimenteries et par les gros consommateurs industriels pour être brûlée afin de produire de la chaleur et de l’énergie. «Les émissions de gaz à effet de serre (GES) sont comparables au charbon, sinon pire», estime M. Bonin.

Le rapport de l’AQLPA et de Greenpeace prévient qu’un projet de cimenterie à Port Daniel, en Gaspésie, pourrait devenir le plus gros four à pétrole de coke de la province, voir en Amérique du Nord.Selon le document, intitulé «Ce que vous devez savoir sur la venue du pétrole de l’Ouest vers le Québec mais que les pétrolières préfèrent que vous ne sachiez pas», ce projet pourrait faire augmenter les émissions de GES de 700 000 à 2 millions de tonnes. Au total, en passant d’un pétrole léger à un pétrole lourd des sables bitumineux dans les raffineries du Québec, les émissions de GES pourraient tripler, estiment les deux organismes. Le rapport souligne qu’entre 15 et 30 pour cent d’un baril de pétrole des sables bitumineux devient du résidu, ce qui est beaucoup plus que pour un baril de pétrole conventionnel. CLIP


« Il n’y a actuellement aucune manière possible d’utiliser la force, la loi ou l’argent pour protéger adéquatement l’eau potable des projets d’oléoducs. Les citoyens n’ont aucun pouvoir direct pour arrêter ces projets d’oléoducs. Ils doivent donc utiliser des moyens indirects pour chercher à influencer ceux qui ont le pouvoir de les arrêter. Il faut donc informer, convaincre, influencer. Ça peut sembler anodin ou inoffensif, mais c’est tout le contraire. Si ça l’était, les compagnies pétrolières ne gaspilleraient pas leur argent à cibler les élus avec des lobbyistes. (...) Pour atteindre l’objectif stratégique d’arrêter les projets d’oléoducs afin de protéger l’eau potable, les citoyens doivent informer et influencer les autres citoyens du Québec, mais aussi les compagnies privées, tous les paliers de gouvernement, les élus, les médias et leurs journalistes, les groupes citoyens, les chambres de commerce, les investisseurs et bien sûr les compagnies Enbridge et TransCanada. »

– Denis McCready - Tiré de Arrêter les oléoducs – La persuasion


Québec, voie de passage du pétrole albertain? - Steven Guilbeault

Les sables bitumineux profiteraient davantage aux étrangers, soutient un rapport - La Presse Canadienne

Notre Keystone - Karel Mayrand - Fondation David Suzuki

Un rapport accablant sur un gazoduc de TransCanada déterré après des années - Radio-Canada

Le lobby du pétrole s’active au Québec - Le Devoir
Le Registre compte plus de 50 inscriptions, davantage qu’au plus fort du débat sur le gaz de schiste. (...) Un total de 12 personnes sont inscrites au Registre des lobbyistes afin de convaincre le gouvernement Marois de donner son appui aux controversés projets de pipelines qui doivent permettre de transporter du pétrole de l’Ouest canadien jusqu’au Québec. À elle seule, TransCanada Corporation a retenu les services de sept lobbyistes-conseils payés « de 10 000 $ à 50 000 $». Leur mandat a été inscrit il y a moins de deux semaines. Il consiste à plaider en faveur de leur client « afin qu’une orientation soit prise dans le but d’obtenir l’appui du gouvernement provincial et des instances municipales quant à l’acceptabilité sociale des projets de pipelines de gaz naturel et de pétrole au Québec ». (...) Ce pipeline doit faire couler chaque jour 300 000 barils de brut jusqu’à Montréal avant la fin de 2014. (...) Québec a dit oui au projet d’Enbridge en décembre. Le véritable feu vert doit toutefois provenir du gouvernement Harper, puisque ce pipeline est de compétence fédérale. Ottawa devrait approuver l’inversion de l’oléoduc 9B d’ici quelques semaines. Avec le projet de TransCanada, le Québec devrait devenir une plaque tournante pour l’industrie pétrolière albertaine. CLIP


« En passant, je verrais très bien le pipeline projeté par TransCanada passer par Westmount et Ville Mont-Royal où logent plusieurs militants millionnaires qui sont farouchement favorables. »

– Léo-Paul Lauzon - Tiré de http://on.fb.me/MD3w0t


Rassemblement festif de Stop-Oléoduc à la parade du Carnaval de Québec le 15 février

Explosion d'un pipeline dans l'Illinois aux États-Unis

Les émissions toxiques des sables bitumineux sont sous-estimées, selon une étude - Radio-Canada

Canada: l'exploitation des sables bitumineux plus polluante que prévu - Journal de Montréal

Les sables bitumineux parmi les pires projets énergétiques, selon Greenpeace - Le Devoir
(...) Les sables bitumineux albertains arrivent en cinquième place et partagent le rang avec des projets en Irak et aux États-Unis. Le rapport indique que les sables bitumineux pourraient émettre jusqu'à 420 millions de tonnes de dioxyde de carbone par année d'ici 2020, si l'on additionne les émissions liées à la production et à la consommation du combustible. (...) Si l'ensemble des 14 projets en développement se concrétisent, M. Stewart assure qu'il n'y a aucune chance pour que l'objectif de restreindre le réchauffement planétaire à moins de deux degrés soit atteint. Pour de nombreux scientifiques, cette limite de deux degrés constitue le seuil au-delà duquel une catastrophe climatique sera inévitable.

Les sables bitumineux une catastrophe écologique mondiale - Greenpeace
Enfouie sous la forêt boréale, dans le Nord de l’Alberta, se trouve une source de pétrole que l’on appelle les sables bitumineux. Ce pétrole est l’un des plus sales au monde parce que son extraction requiert une telle quantité d’énergie que cela en fait l’un des pétroles les plus polluants de la planète en matière d’émissions de gaz à effet de serre (GES). Les gisements de sables bitumineux sont dispersés sur plus de 138 000 kilomètres carrés de territoire (une superficie de la taille de la Floride) qui comprend 4,3 millions d’hectares de forêt boréale, l’une des dernières forêts anciennes et intactes de la planète. Chaque jour, 1,3 million de barils de pétrole sont extraits des sables bitumineux en Alberta et la production devrait tripler voire quintupler d’ici 2020. (...) Les conséquences de l’exploitation de ce pétrole se font ressentir à l’échelle mondiale. En 2020, l’industrie des sables bitumineux émettra plus de GES que des pays comme l’Autriche, le Portugal, l’Irlande ou le Danemark. À elle seule, elle pourrait même égaler ou surpasser les émissions d’un pays de 10 millions d’habitants comme la Belgique!

(...) Le pétrole des sables bitumineux puise dans la production de gaz naturel du Canada, à hauteur de près de 20 % de la demande annuelle. Pour remédier à ce problème, certains organismes ont proposé de construire jusqu’à 25 réacteurs nucléaires d’ici 2025 pour extraire le bitume. Ajouter le risque et la pollution du nucléaire à la pollution des sables bitumineux, quelle aberration (...) Une fois le bitume séparé du sable et le pétrole extrait, les résidus de ce processus doivent être stockés dans d’immenses bassins de décantation, des étangs toxiques à ciel ouvert. Pour chaque mètre cube de bitume extrait, de trois à cinq mètres cubes de résidus doivent être stockés; ces étangs sont donc tellement grands qu’on peut les voir à l’œil nu depuis l’espace. D’autres types d’eaux usées sont aussi stockées dans des bassins de retenue artificiels, notamment les eaux d’égout, l’eau de refroidissement et l’eau qui est entrée en contact avec du coke, des asphaltènes, du soufre ou des métaux lourds. CLIP

Pipelines dangereux

Sables bitumineux / La honte du Canada

Pub sur promotion des sables bitumineux... modifiée

Les sables bitumineux: le vidéo noir du Canada
Reportage de France 2 « La ruée vers le sable - Pour quelques barils de plus »

Les sables bitumineux vus du ciel

La mesure des sables bitumineux
(...) Examinons simplement pour nous en convaincre que, d'après l'Office national de l'énergie, l'industrie des sables bitumineux brûlera l'an prochain à elle seule environ 2,1 milliards de pieds cubes de gaz naturel par jour. Bien lire : par jour... Pour savoir ce que cela représente en termes d'énergie, un petit calcul bien simple suffit. Ceux qui veulent en voir le détail se reporteront à notre encadré ci-contre. Pour les autres, qui s'intéressent plus au résultat qu'à la démarche, sachez ceci : sur une période d'un an, ces 2,1 gigapieds cubes quotidiens de gaz naturel fournissent environ 225000 gigawattheures (GWh) d'énergie (...)  cela représente carrément plus d'énergie que ce que la société d'État n'en produit annuellement avec toutes ses centrales réunies (171000GWh en 2012). (...) Mais aussi, comme on peut lire dans le livre du physicien Normand Mousseau Au bout du pétrole, parce que ce n'est pas uniquement sous forme de CO2 que les dégâts des sables bitumineux se présentent. Leur extraction demande souvent de creuser des mines immenses à ciel ouvert et, dans tous les cas, même quand le bitume est chauffé et pompé directement de sous terre, la technique mobilise des quantités d'eau pharaonesques - 4,5 litres pour chaque litre de bitume produit. CLIP

Élections Canada perd ses pouvoirs d'enquête
Depuis la dernière élection fédérale, le Directeur général des élections du Canada n’a cessé de révéler des irrégularités commises par le Parti conservateur. Résultat : Un projet de loi visant à enlever au DGE d’Élections Canada ses pouvoirs d’enquête. C’est connu, et c’est grave, le premier ministre Harper n’aime pas la critique. Ainsi dès qu’une organisation, ou un groupe de citoyens se montre un peu trop critique, il s’organise pour les réduire au silence. C’est le cas des scientifiques, des journalistes, des syndicats, des écologistes et maintenant, du Directeur général des élections d’Élections Canada.

Élections Canada perd ses pouvoirs d'enquête

Dépenses électorales: deux députés conservateurs risquent la suspension - Le Devoir

Appels frauduleux: le DGE a reçu 700 plaintes - La Presse

Sables bitumineux : Ottawa et les pétrolières travaillent main dans la main - Radio-Canada
De nouveaux documents obtenus par Greenpeace grâce à la Loi d'accès à l'information jettent un nouvel éclairage sur les relations étroites que le gouvernement conservateur de Stephen Harper et le gouvernement de l'Alberta entretiennent avec l'industrie pétrolière du pays.

Sables bitumineux: Neil Young vilipende le gouvernement Harper - le Devoir
Toronto — Le chanteur canadien Neil Young a lancé une cinglante attaque, dimanche, à l'endroit du gouvernement Harper et des sables bitumineux de l'Alberta. Lors d'une conférence de presse, le légendaire artiste a déclaré que pour le gouvernement conservateur, «l'argent est numéro un, et l'intégrité n'est même pas sur la carte». La conférence de presse visait à donner le coup d'envoi au premier de quatre concerts dont l'objectif est de soutenir une nation autochtone de l'Alberta qui combat le développement des sables bitumineux dans la province. Young, qui a récemment visité l'un des sites où l'on extrait du pétrole des sables bitumineux, a comparé la pollution à Hiroshima, la ville japonaise où a été larguée la première bombe atomique pendant la Seconde Guerre mondiale. Selon le chanteur, les leaders canadiens tuent les peuples des Premières Nations et leur sang sera dans «les mains du Canada moderne». Il a également dit espérer que ses petits-enfants puissent regarder vers le haut et contempler un ciel bleu, mais tout ce qu'il voit, c'est un gouvernement qui est «hors de contrôle».

À voir – si vous avez l'estomac solide : une vidéo publicitaire du parti Conservateur vantant les mérites du pipeline Keystone dont l'approbation est toujours bloquée par Obama, car politiquement suicidaire et, au fond, avec leur pétrole de schiste hyper-écodestructeur qui va bientôt faire d'eux les plus gros producteurs de pétrole au monde, les Américains n'ont plus vraiment besoin du pétrole sale et corrosif de l'Alberta.

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