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BAS LES MASQUES !


Dimanche dernier (le 27 avril 2014), le pape François 1er présidait au Vatican à la canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II - voir Jean XXIII et Jean Paul II faits saints par François au http://bit.ly/1mPcyFc. Vous avez sans doute remarqué à quel point les grands médias ont généralement présenté sous un jour bienveillant cet événement. Pourtant, quand on se rappelle l'ampleur sans précédent des nombreux scandales d'abus sexuels subis par des milliers d'enfants dans le monde aux mains de prêtres pédophiles, avec la protection notamment de Jean-Paul II qui a tout fait pour dissimuler ces crimes, ce qui selon les lois de nombreux pays faisait de lui un complice, il y a lieu de se demander pourquoi François 1er a blanchi la réputation de ce pape, toujours très populaire chez les croyants, en faisant de lui un saint. Ayant découvert depuis quelques années de nombreux faits peu connus au sujet de cette institution humaine éminemment faillible [comme la complicité de l'Église catholique et de l'Église anglicane dans le génocide subi par les populations aborigènes du Canada (tous les détails plus bas et au http://bit.ly/1rDm2DR dans Silence de l'Histoire sur l'holocauste canadien : L’histoire non révélée du génocide du peuple aborigène par le pasteur Kevin Annett - mis en nomination pour le Prix Nobel de la paix en 2013 : http://bit.ly/1rMn2Hw) et ayant entraîné la mort, souvent dans d'atroces tortures, d'au moins 50,000 enfants dans les pensionnats religieux], j'ai décidé de fouiller un peu la question afin de vous présenter les faits.

Ce qui suit (plus bas) est le résultat de cette recherche, mais si vous ne pouvez examiner qu'une seule chose dans toute cette documentation, je vous recommande de lire ce qui se trouve au http://bit.ly/1krfh6X au sujet du Tribunal International de Droit Coutumier – Haute cour de Justice – qui vient de tenir une première audience d'un procès portant sur le trafic mondial d’enfants et sur d'horribles rituels meurtriers, où furent présentés des témoignages ahurissants de deux jeunes adolescentes « qui déclarent avoir été torturées et violées par l’accusé principal Jorge Bergoglio – pseudonyme, le Pape François – durant le printemps 2009 et 2010 lors de cultes atroces se déroulant dans le cadre du réseau du 'Neuvième Cercle' de sacrifices d’enfants. » On y met également en cause « les familles royales britannique, hollandaise et belge dans la disparition et les meurtres d'enfants Mohawk à Brantford, dans l’Église anglicane du pensionnat de l’école indienne, au Canada ». Je vous assure que ce n'est pas un canular, bien qu'il s'agisse d'une sorte de tribunal du peuple (tel qu'expliqué au http://bit.ly/1krgVFs) établi pour tenter d'amener les institutions légales à lever l'impunité dont jouissent les personnes accusées dans ce procès. Quelques détails de crimes atroces commis par l’Eglise catholique romaine et les Jésuites sont révélés au bas de http://bit.ly/1krfh6X. Cœurs sensibles, s'abstenir.

Je tiens toutefois à apporter une importante précision en ce qui concerne tous les autres prêtres n'ayant jamais été mis en cause dans ces crimes. Même si la hiérarchie religieuse doit bien sûr porter tout le blâme pour avoir durant autant de décennies protégé les prêtres pédophiles qui ont pu ainsi continuer à détruire impunément la vie des enfants qu'ils violaient – ce qui enlève à mes yeux toute légitimité à ceux qui prétendent vouloir prêcher de quelconques enseignements religieux et moraux, un fait qui n'a d'ailleurs pas échappé à l'attention des baptisés catholiques qui, surtout dans les pays occidentaux, ont depuis longtemps déserté massivement la pratique religieuse – les prêtres ne sont évidemment pas tous des abuseurs d'enfants, puisque, selon Wikipedia (http://bit.ly/1e8asNF), c'est entre 4 et 10% des prêtres, selon les pays, qui se sont livrés à la pédophilie. La plupart des autres prêtres sont sans doute pour la plupart des êtres foncièrement bons et charitables pris au piège d'un endoctrinement puissant qui depuis des siècles a perverti les fondements mêmes des enseignements laissés en héritage par un initié spirituel de haut niveau connu sous le nom de Jésus de Nazareth, aussi appelé Joshua ben Joseph tel qu'on le découvre dans un livre exceptionnel que j'ai eu le privilège de traduire : Les neufs visages du Christ (voir au http://bit.ly/1luFRx2 la présentation-synthèse de ce livre).

Ceci dit, il serait grand temps que les médias cessent d'encenser cette Église dont la liste de crimes contre l'humanité (inquisition, croisades meurtrières, guerres de religion, complicité avec les nazis et de nombreux autres dictateurs, etc.) et l'hypocrisie dont plusieurs de ses dirigeants continuent à faire preuve devraient depuis longtemps avoir ouvert les yeux de tous à ce qu'elle est réellement, soit une gigantesque secte religieuse qu'il serait temps de laisser disparaître dans l'oubli – mais en mettant néanmoins en pratique la miséricorde, le pardon et l'Amour inconditionnel dont sait faire naturellement preuve la conscience plus aigüe de l'âme qui s'affirme en nous, alors que nous cheminons vers toujours plus de Lumière, libérés de tous les dogmes religieux, et désormais en mesure d'entretenir une relation directe, sans l'intermédiaire déformant d'un quelconque clergé, avec le Créateur universel dont la nature tout entière et chaque être l'habitant en sont l'expression et l'extension.

Jean Hudon

P.S. Chaque élément d'information a été vérifié au meilleur de ce qui est disponible et les faits documentés paraissent irréfutables - la question du génocide d'enfants aborigènes au Canada notamment. Quant aux graves accusations portées par le Tribunal International de Droit Coutumier, il faut se fier à la qualité du travail d'enquête du pasteur Kevin Annett et de ceux qui le soutiennent - même si elles peuvent ressembler à de la calomnie. Il est extrêmement pénible de même envisager que de telles atrocités aient pu être commises par des gens ayant une telle réputation de quasi sainteté, et il est encore plus difficile de démontrer hors de tout doute qu'elles ont bel et bien été commises, surtout quand l'ensemble des médias et des gouvernements semblent mettre sur un piédestal tout ce qui émane du Vatican. Aucun grand média ne mentionne ce procès et aucun journaliste n'osera couvrir cela tellement l'omerta qui règne à ce sujet est puissante. Et le rapport que publiera ce tribunal subira le même sort, quelles que soient la solidité des preuves réunies. Ceci dit, tel qu'indiqué, nous sommes invités à faire preuve de miséricorde, de pardon et d'Amour inconditionnel à l'égard de ces âmes, et non de les juger ou de tomber dans la haine. Nous avons tous et toutes une part d'ombre en nous et personne ne peut prétendre n'avoir jamais commis d'erreurs - lesquelles forment le terreau fertile de notre lent apprentissage évolutif. Tel est notre défi face à des révélations aussi troublantes : Demeurer sereins malgré tout, le cœur rempli de compassion et d'Amour, et faire confiance que les lois universelles s'appliqueront, dont celle du karma, aiguillonnant notre longue évolution des ténèbres de l'ignorance jusqu'à la Lumière de la pleine connaissance de notre véritable nature divine.




Jean XXIII et Jean Paul II faits saints par François
http://bit.ly/1mPcyFc
Selon le Vatican, 800 000 personnes ont assisté à la cérémonie, dont un demi-million massées autour de la place Saint-Pierre. Les autres s'étaient rassemblés devant 17 écrans géants installés dans des endroits emblématiques. (...) Jean Paul II reste le pape le plus populaire de tous les temps. Mais, même si nul ne conteste sa stature internationale, il a ses détracteurs qui lui reprochent notamment un aveuglement face aux crimes pédophiles et sa sévérité avec les théologiens dissidents. (...) Après l'élection historique du pape argentin, depuis 13 mois à la tête d'une Eglise d'1,2 milliard de baptisés, cette double canonisation est perçue comme un événement pouvant contribuer à dissiper le souvenir d'années marquées par des scandales, notamment la pédophilie, et réconcilier deux sensibilités différentes de l'Eglise incarnées par ces deux papes.

Jean XXIII, le Saint consensuel qu’il fallait à François pour éteindre les critiques sur la canonisation de Jean-Paul II
http://yhoo.it/1lZs2Fl
La canonisation le même jour de deux papes marque une reconnaissance pour deux personnalités qui ont marqué profondément le monde chrétien du XXe siècle. Elle laisse aussi penser à une volonté de détourner l'attention sur la seule personne de Jean-Paul II dont la canonisation fait polémique auprès d'une partie des chrétiens.

Jean-Paul II: Le saint patron des prêtres pédophiles (25 avril 2014 - article anglais dont un court extrait est traduit)
http://bit.ly/1kjB6W0
Comment pouvez-vous être un saint si vous ne parvenez pas à protéger les enfants innocents ? Le Pape Jean-Paul II n'était pas un saint. Son héritage sera toujours entaché par son attitude indulgente envers les prêtres sexuellement abusifs, et par son incapacité à protéger les enfants innocents brutalisés sexuellement par des prêtres catholiques. Comme le rapporte le Telegraph, le défunt pontife polonais aurait pu empêcher que des «milliers» d'enfants soient violés par les prêtres pédophiles, mais il a plutôt choisi d'ignorer le scandale dans l'intérêt de la protection de l'image de l'Église catholique (...) Barbara Blaine, la présidente du Réseau des survivants des personnes victimes de violence faite par des prêtres (SNAP), qui représente 18 000 personnes de 79 pays qui ont été abusés sexuellement par des membres de l'Église catholique, a déclaré : « Il est temps pour le Vatican de cesser d'honorer ceux qui ont permis des actes répréhensibles. Il existe des preuves irréfutables documentées démontrant que Jean-Paul II a refusé de prendre des mesures qui auraient protégé les enfants durant son pontificat de 27 ans. Des milliers de victimes ont été agressées parce que Jean-Paul a refusé de lire les rapports qu'il recevait. »

Pédophilie Torture: l'Eglise catholique irlandaise (Nouvelles télévisées)
http://bit.ly/1mQwhqu

Scandale de pédophilie: l'Eglise catholique allemande (France 24)
http://bit.ly/1rD5k9r

Comment l’Église a couvert les crimes pédophiles (Extraits du documentaire Coupables indulgences)
http://bit.ly/1fnjGIP

Jean Paul II : le saint des pédophiles et pédérastes
http://bit.ly/1nU6pr7
(...) Les hautes hiérarchies de l’Egise Catholique, depuis le Pape, la plus haute autorité de cette dernière, ont toujours fermé les yeux devant la pédérastie d’un grand nombre de ses prêtres et, pire même, elles la couvrent de multiples façons, comme l’a fait le cardinal colombien Darào Castrillon. Jean Paul II a été, parmi les derniers papes, celui qui a le plus couvert ces crimes parce que jamais il n’a agi le moins du monde pour que ces criminels fussent jugés. Il les protégea et les couvrit, les faisant muter de paroisse sans prendre en considération les accusations incessantes à l’encontre de la pédophilie des serviteurs de Dieu.

(...) Pour faire court, Jean Paul II était informé des accusations portées contre le violeur qui dirigeait les Légionnaires du Christ, mais il a fait comme s’il ne savait pas ; il l’a hissé au sommet de la hiérarchie ; il l’a protégé avec tout le pouvoir du Vatican ce qui revient, pratiquement, à couvrir et à être complice des délits de viols et d’abus sur mineurs.

Jean Paul II est le nouveau bienheureux de l’Église Catholique, arrogant et autoritaire, celui-là même qui durant son long pontificat de 26 ans fut l’allié des secteurs les plus obscurantistes du monde, pour détruire des projets révolutionnaires et anticapitalistes. Celui-là même qui s’est acharné contre les théologiens de la Libération et qui a soutenu des dictatures criminelles comme celle de Raoul Cédras, à Haïti, durant la décennie 90. CLIP

Aux victimes de Jean-Paul II (27 avril 2014)
http://bit.ly/1isquje
(...) L'évêque n'est, dans le catholicisme, que le délégué chargé de rendre présente l'autorité du pape. Il n'est pas possible, pour un évêque catholique, de se couper de cette centralisation excessive, sous peine d'être limogé. Cette centralisation est la seule raison qui a fait que, durant des dizaines d'années, partout dans le monde, des prêtres pédophiles ont pu faire des dizaines de milliers de victimes sans jamais être inquiétés. Si la protection des pédophiles avait dépendu des évêques locaux, ceux-ci auraient réagi différemment aux États-Unis, en Irlande, en Allemagne ou ailleurs. Pourtant non. Tous ont eu la même attitude, partout dans le monde, durant des dizaines d'années, sans que jamais personne ne fasse cas des victimes. Le nombre de victimes n'a fait que croître grâce à cette systématisation de la protection des bourreaux. Et le pape d'alors, dont dépendaient toutes ces décisions, était Jean-Paul II. C'est Jean-Paul II qui fut directement accusé par le rapport Cloyne qui traitait des abus sexuels au sein de l’Église catholique irlandaise. Dans ces conditions, la canonisation d'un tel personnage ne peut être envisagée, sauf à considérer qu'elle ne sert que des intérêts politiques. (...) Alors, aujourd'hui où Jean-Paul II entre au panthéon des saints, aujourd'hui où les pédophiles voient leur protecteur se transformer en saint protecteur, ma pensée va aux victimes de sa politique. CLIP

AFFAIRE DUTROUX ET ÉGLISE CATHOLIQUE PÉDOPHILE
http://bit.ly/1ny7F5W
Dans le dossier-enquête exceptionnel de la revue française « Dossiers Secrets d’États », des découvertes ahurissantes sont effectuées concernant l’affaire Dutroux. On y révèle que le Cardinal Godfried Danneels aurait assisté à la mise à mort des petites Julie et Mélissa qui ont subi des «sévices physiques épouvantables» tel que démontré par leur autopsie, et que Monseigneur Ratzinger, qui allait devenir le pape Benoit XVI, était au courant de tout cela et n'a rien fait. Selon cet article, «la hiérarchie catholique est, au minimum, complice du crime de Danneels, voire coupable elle-même.» La Curie romaine avait même, sembe-t-il, en sa possession une copie de la vidéo montrant les «sévices particulièrement atroces» subies par les victimes en présence du Cardinal Danneels qui a avoué implicitement sa participation en se contentant de demander en regardant cette vidéo «Me voit-on également sur la cassette?».

Le Vatican satanique attaqué!
http://bit.ly/1fjJOEY
La démission de Benoît XVI n’est pas survenue sur un coup de tête ou sur une trop grande fatigue mais plutôt parce que le Vatican est attaqué sur sa fondation et qu’il est au bord de son effondrement. (...) Les accusations contre Benoît XVI ne sortent pas de nulle part et ont été compilées par une association qui s’attaque directement à Benoît XVI et en tant que représentant de l’église catholique, en l’accusant de crimes contre l’humanité, de satanisme, de pédophilie et de malversations financières! CLIP

La Banque du Vatican accusée de faciliter le blanchiment d'argent (Journal Le monde - 06.07.2013)
http://bit.ly/1isy5yf
Le fonctionnement de la Banque du Vatican facilite le blanchiment d'argent, affirment les responsables d'une enquête longue de trois ans sur l'institution bancaire. L'Institut pour les œuvres de religion (IOR, dénomination officielle de la banque) n'a pas procédé à des contrôles suffisants sur ses clients et a autorisé les détenteurs de compte à transférer des sommes importantes pour le compte de tiers, selon la même source.

(...) Le pape François a mis en place une commission d'enquête sur la banque et affirme préparer une profonde restructuration de l'institution bancaire, l'une des plus secrète au monde, au coeur de scandales financiers, dans le cadre de réformes plus larges de la bureaucratie au Vatican. Le Vatican a entrepris une réforme de ses finances afin de figurer sur la "liste blanche" des états respectueux des règles des lutte contre le blanchiment d'argent.

Le pape décide de conserver la banque du Vatican (7 avril 2014)
http://bit.ly/1hF6zld
La banque du Vatican, dont des rumeurs de fermeture couraient depuis un an, restera opérationnelle, a décidé le pape François tout en approuvant une série de recommandations pour l'avenir de l'établissement. L'Institut pour les oeuvres de religion (IOR), cité depuis des décennies dans plusieurs scandales, est soupçonné d'avoir trempé dans des opérations de blanchiment d'argent."L'IOR va continuer à servir avec prudence et à fournir les services financiers nécessaires à l'Église catholique dans le monde", précise lundi le Vatican dans un communiqué. CLIP

Le Vatican, actionnaire d'un fabricant d'armement pris dans un scandale économique
http://bit.ly/PK8Wbj
La banque du Vatican est l'une des principales actionnaires de la plus grande fabrique d'armements en Italie : Pietro Beretta contrôlé par la Holding SPA Beretta. Sujets abordés: - L'Institut des oeuvres religieuses, la banque de Dieu qui sent le soufre - Blanchiment d'argent au Vatican - L'IOR, mystérieux temple financier du Vatican s'ouvre aux journalistes. L'actionnaire majoritaire après Gussalli Ugo Beretta est l'IOR (institut pour les œuvres de religion), plus communément appelée, La Banque du Vatican, une institution financière privée dont le siège se trouve au Vatican.

Les dessous noirs du Vatican. Camps de concentration chrétiens. Mafias au pouvoir
http://bit.ly/1lZbSA0

Canada : le massacre du peuple indien passe par la destruction et l’exploitation de ses enfants

(courts extraits) On parle souvent de réseaux pédophiles ici, mais au pluriel, et le terme n’est pas approprié. De plus en plus, il semble qu’il n’y ait qu’un seul, vaste réseau. Qui trafique les gosses comme on trafique la coke.

1. Quelques dates de crimes contre le peuple amérindien

(...) 1993 – 1995 : des indiens parlent publiquement de meurtres d’enfants à l’école St Andrews de Port Alberni, qui était gérée par l’Eglise catholique du Canada. C’est là qu’officie Kevin Annett, ce pasteur qui est tombé sur une transaction foncière entre le gouvernement et l’église qui achetait, concernant des terres volées aux indiens. Annett est viré à la suite de son indignation publique au sujet de cette magouille. Puis un autre parle d’enfants battus à mort dans un autre pensionnat.

2009 : un témoin de meurtre d’enfant, Johnny “Bingo” Dawson, est assassiné par la police, qui l’avait menacé au cas où il parlait.

2010 : les contacts entre les survivants de l’Eglise canadiens, irlandais, italiens, allemands et anglais se nouent. Il apparaît clairement que Ratzinger, le pape, a œuvré toute sa vie pour dissimuler ces abus au public.

2012 : pendant que le gouvernement fait encore mine de faire de la « réconciliation » et de la « vérité », les actions en Justice vont démarrer sérieusement. Au passage, précisons que les survivants des résidential school conchient littéralement la « Truth and reconciliation commission » qui tente de les enfumer depuis quelques années déjà, à grands coups de subventions. Et aujourd’hui, on ne connait toujours pas le nombre d’enfants qui sont passés dans ces pensionnats. On parle officiellement de 100.000 à 200.000 enfants.

2. Le génocide 

On peut parler de génocide par bien des aspects. Notamment parce qu’on retrouve dans celui des indiens du Canada les trois phases habituelles : conquête, confinement, destruction. Mais celui des indiens a duré longtemps et a fonctionné par vagues successives, sous le couvert de la religion et de l’éducation. Les survivants parlent de camps de concentration chrétiens.

En 1910, la plupart de la centaine de pensionnats (les residential school) dans lesquels sont envoyés les enfants indiens du Canada est dans le giron de l’Eglise catholique romaine. Ces pensionnats étaient de véritables mouroirs, où le taux de décès était encore pire que dans les camps de concentration nazis : d’après les chiffres disponibles, il apparaît que plus de la moitié des enfants y mouraient chaque année, et cela durant un bon demi siècle (contre 15 à 20% par an dans les camps de concentration). Duncan Scott l’a écrit en 1910 : les décès massifs de ces enfants indiens dans les pensionnats sont « en accord avec la politique du ministère, qui est orientée vers la Solution Finale du problème Indien ».

Et cette Solution Finale a été assez efficace : entre 1900 et 1960, le taux de mortalité des enfants indiens de ces pensionnats oscillait entre 40 et 60% par an. Pendant soixante ans, ce taux est resté le même, malgré les « progrès de la médecine » et la fertilité des terres sur lesquelles étaient installées ces « écoles ».

(...) Marion McFarlane, qui a quitté le pensionnat d’Alberni en 1964, explique à Kevin Annett : « Nous avons utilisé le surnom de ‘maison blanche’ pour l’école à cause de tous les gros bonnets qui se présentaient pour prendre les petits garçons et filles. Parfois, j'ai reconnu des juges locaux et des flics, des ecclésiastiques. Tout le monde était tranquille, comme ils savaient qu'ils n'auraient jamais à répondre de rien. Ils alignaient tous les enfants pour l'inspection, comme une vente aux enchères normale d’esclaves. C’était si triste. Ils prenaient un enfant et ils s'en allaient, et la plupart du temps vous ne revoyiez plus jamais l’enfant. Parfois, les filles revenaient enceintes, et elles étaient envoyées dans un hôpital de la côte ouest dans West Coast pour un avortement. Si la fille parlait, ils s’en occupaient. Si vous passez derrière le pipeline d’eau dans les collines derrière l’école, vous trouverez beaucoup de ces filles, et même certains de leurs bébés ».

(...) Clairement, Annett explique que des réseaux pédophiles opéraient à partir des pensionnats (d’où la fréquence des avortements alors que les filles et les garçons étaient séparés strictement, justement pour ne pas se reproduire). De nombreux survivants, et d’autres témoins ont décrit la connexion étroite entre les églises qui géraient ces établissements, et les réseaux de pédophilie.Il semble qu’à partir des années 50, beaucoup de pensionnats se sont mis aussi à l’activité lucrative d’ « élevage sexuel », comme l’écrit Annett. CLIP

UNREPENTANT - LE GÉNOCIDE DES INDIENS DU CANADA
http://bit.ly/1iwPw0x
Unrepentant documente le secret bien gardé du Canada - le génocide planifié du peuple aborigène dans les Écoles résidentielles indiennes - et les efforts d'un homme du clergé à rendre ces crimes publics, au péril de sa propre vie familiale et sa carrière.

Entrevue radio avec le pasteur Kevin Annett - 22 avril 2014 - en anglais
http://vimeo.com/92702026
Si vous comprenez l'anglais et que vous avez le temps d'écouter cette entrevue, vous risquez d'être estomaqué - et profondément dégoûté - par tout ce que révèle celui qui depuis près de 20 ans dénonce le génocide perpétré au Canada contre les autochtones.

Le Diable est au Vatican dit l'Exorciste du Saint-siège / Père Gabrielle Amorth
http://bit.ly/1kb7AzX
Selon l'avis éclairé de l'exorciste en chef, les scandales des abus sexuels dans l'Eglise catholique romaine, sont la preuve que «le diable est au travail à l'intérieur du Vatican» Le père Gabriele Amorth, 85 ans, qui a été le chef exorciste au Vatican pendant 25 ans, dit qu'il a traité 70.000 cas de possession démoniaque et déclaré que les luttes de pouvoir au Vatican, «les cardinaux qui ne croient pas en Jésus, et les évêques qui sont liés au Demon», ont pour conséquences l'infiltration satanique.

Le Vatican infiltré par des satanistes - Gabriele Amorth
http://bit.ly/1isAqJo
Enorme révélation de l'exorciste en chef du Vatican, Dom Gabriele Amorth qui révèle dans ses mémoires, que le Vatican a été infiltré par des sectes sataniques

François : «Le pape de Washington» ? Le cardinal Jorge Mario Bergoglio et «la guerre sale» d’Argentine
http://bit.ly/1nUVBJn
(...)Jorge Mario Bergoglio: « Le pape de Washington au Vatican »? L’élection du pape François a de vastes implications géopolitiques pour toute la région de l’Amérique latine.Dans les années 1970, Jorge Mario Bergoglio soutenait une dictature militaire appuyée par les États-Unis. Les autorités catholiques en Argentine soutenaient le gouvernement militaire. Le programme de torture, d’assassinats et de disparition de milliers d’opposants politiques était coordonné par Washington dans le cadre de l’« opération Condor » de la CIA. Les intérêts de Wall Street étaient maintenus par José Alfredo Martinez de Hoz au ministère de l’Économie. L’Église catholique en Amérique latine a une grande influence politique. Elle a aussi un pouvoir sur l’opinion publique. Les architectes de la politique étrangère étasunienne le savent. En Amérique latine, où de nombreux gouvernements défient maintenant l’hégémonie américaine, on pourrait s’attendre, au vu des antécédents de Bergoglio, à ce que le nouveau pontife François, en tant que chef de l’Église catholique, joue de facto un rôle politique clandestin pour Washington. Avec Jorge Marion Bergoglio comme pape au Vatican, un homme qui a servi fidèlement les intérêts américains à l’apogée du général Jorge Videla, les autorités de l’Église catholique en Amérique latine peuvent à nouveau être manipulées efficacement afin de miner les gouvernements « progressistes » (de gauche), non seulement en Argentine (le gouvernement de Cristina Kirchner), mais dans la région entière, au Venezuela, en Equateur et en Bolivie. CLIP

Les milliards du Vatican
http://bit.ly/1rDQfnZ
L'origine de la richesse colossale actuelle de l’église catholique (...) Le Wall Street Journal disait que les opérations financières du Vatican aux USA ont été si importantes que très souvent, il a vendu ou acheté en une seule fois de l’or d’une valeur d’un million de dollars, ou plus. C’est pourquoi le Vatican a été, et est encore l’accumulateur de richesses et le propriétaire de biens le plus redoutable qui soit. Personne ne sait avec certitude combien pesa ou pèse l’église catholique, ni sa valeur en terme de dollars ou en d’autres monnaies, pas même le Pape lui-même. Telle est la véritable situation confirmée par un officiel du Vatican qui lorsqu’on lui a demandé de faire une estimation de la fortune du Vatican d’aujourd’hui, a répondu de façon très révélatrice «Dieu Seul le sait».

Abus sexuels sur mineurs dans l'Église catholique (selon Wikipedia)
http://bit.ly/1e8asNF
L'Église catholique fait face depuis la fin du xxe siècle à la révélation de nombreuses affaires d'abus sexuels sur mineurs commis par des prêtres et des religieux. Certaines de ces affaires ont été portées en justice, mais d'autres sont prescrites, souvent parce qu'elles ont été couvertes ou étouffées par la hiérarchie ecclésiastique. Depuis le début du xxie siècle, de nombreux diocèses tendent à reconnaître publiquement leurs torts et cherchent à mieux collaborer avec les autorités civiles.

(...) En 2004, le John Jay report, une étude indépendante du John Jay College of Criminal Justice de New York, rendue publique par l'Église catholique américaine, établit à 4 400 le nombre de prêtres accusés d'abus sur des mineurs aux États-Unis entre 1950 et 2002, soit 4 % de l'ensemble des 110 000 prêtres en fonction pendant cette période. Le nombre de mineurs victimes de ces abus est évalué à 11 000, 67% ayant entre 11 et 17 ans. Les victimes des abus sexuels ont reçu des indemnités pour un total de 2 milliards de dollars.

(...) Au Canada, à partir des années 1990, des milliers d'Amérindiens ayant séjourné dans des pensionnats religieux attaquent en justice le Gouvernement du Canada et les Églises Catholique, Anglicane, Unie et Presbytérienne pour « abus sexuels », maltraitance et « génocide culturel » commis entre 1880 et 1984. Le gouvernement avait donné pour mission aux Églises l'assimilation des Amérindiens. Les parents autochtones étaient tenus d'envoyer leurs enfants dans ces pensionnats (residential schools) sous peine d'emprisonnement. Dans certaines écoles, les mauvaises conditions et la surpopulation ont causé des décès par tuberculose allant jusqu'à 69 % des élèves. Des allégations de meurtres en grand nombre ainsi que d'expériences médicales sont aussi portées contre les responsables des établissements[réf. nécessaire].

On estime à plus de 100 000 le nombre d'enfants autochtones qui ont fréquenté ces pensionnats. Ceux-ci ont mis fin à leurs activités au début des années 1980. Plusieurs anciens étudiants ont porté plainte, dans la décennie suivante, contre le gouvernement et les groupes religieux qui administraient ces établissements. La plupart d'entre eux étaient tenus par des responsables catholiques. Ainsi, en 1945, 45 pensionnats sur 76 étaient sous la responsabilité de l'Église catholique. Les Amérindiens ont été victimes de brutalités et de violences. Une partie des élèves a subi des abus sexuels. En 2008, l'Église catholique a versé aux anciens élèves des indemnités s'élevant à 79 millions de dollars canadiens.

(...) France - Condamnation d'un évêque pour non-dénonciation en 2001
Avant les années 2000, les cas d'abus sur mineurs étaient souvent traités, d'après les témoignages des évêques eux-mêmes, dans la confidentialité. La principale mesure prise était le plus souvent un changement d'affectation du prêtre, sans que ni le risque de récidive, ni la nécessité d'une thérapie et d'une sanction pénale, ne soient réellement pris en compte.

(...) Selon le journal Le Monde, qui s'appuie sur des sources internes à l'Église catholique en France, une trentaine de prêtres et religieux seraient, début 2010, emprisonnés pour des faits d'abus sexuels sur mineurs et une dizaine d'autres impliqués dans une procédure en cours. Le cardinal André Vingt-Trois confirme ces données en avril 2010, déclarant qu'une « trentaine de prêtres et de religieux purgent la peine à laquelle ils ont été condamnés, conformément à la loi ». Il demande que l'opprobre ne soit pas pour autant jeté sur « l'ensemble des vingt mille prêtres et religieux de France ». D'après une enquête plus récente, menée dans les diocèses pendant l'été 2010, il y aurait, en France, 9 prêtres emprisonnés pour des faits de pédophilie, 51 prêtres mis en examen et 45 prêtres ayant déjà accompli une peine de prison.

(...) Irlande - Au début des années 2000, près de 3 000 adultes affirment avoir subi des sévices sexuels dans des institutions de l'Église catholique. Celle-ci est contrainte, en janvier 2002, de s'entendre avec l'État pour les indemniser, en échange de l'abandon des poursuites judiciaires.

(...) Le 20 mai 2009, le Rapport Ryan, de la commission présidée par le juge Sean Ryan (Commission to Inquire into Child Abuse) dévoile que des centaines d'enfants ont été victimes de sévices, depuis les années 1940, dans des institutions religieuses irlandaises.

(...) Le montant des indemnisations à verser aux victimes d'abus dans des institutions catholiques avait été fixé à 128 millions d'euros. Finalement, la somme totale des indemnité est de plus d'un milliard d'euros, presque entièrement versé par l'État à environ 12 500 des 14 500 victimes.

(...) Allemagne - Selon la députée Ingrid Matthäus-Maier, il pourrait y avoir eu jusqu'à 30 000 victimes dans les institutions laïques et religieuses. (...) En mai 2010, des prêtres et responsables ecclésiaux constatent que de nombreux fidèles s'éloignent de l'Église dans les diocèses concernés par les scandales, l'institution traversant une crise de crédibilité. Cette vague de départ est confirmée par une enquête de Christ und Welt (supplément religieux de l'hebdomadaire Die Zeit) publiée le 7 avril 2011. En 2010, 180 000 personnes ont demandé à être rayées des registres de l'Église catholique, contre 128 800 en 2009. Cet accroissement des défections est dû à la crise de confiance liée aux affaires révélées en 2010 et a des conséquences financières pour l'Église puisqu'elle affecte le montant de l'impôt religieux.

Voir http://bit.ly/1e8asNF pour les données relatives à la Belgique, la Suisse, la Norvège, les Pays-Bas, l'Autriche.

(...) Jugements erronés des évêques
Le rapport Murphy et le rapport Ryan en Irlande, le John Jay report aux États-Unis, ont mis en exergue la trop grande clémence des évêques et des supérieurs d'ordres religieux envers les prêtres et religieux coupables d'abus sexuels18,5. Le fait que des prêtres n'aient pas été dénoncés rapidement, ou qu'ils aient été parfois maintenus dans des fonctions où ils étaient à proximité des enfants a contribué à augmenter le nombre de cas.

(...) Responsabilité du Saint-Siège - En 1962, le Saint-Office envoie secrètement à tous les évêques la lettre Crimen sollicitationis, qui reprend l'essentiel d'un document similaire déjà adressé confidentiellement en 1922 aux évêques. Crimen sollicitationis donne les dispositions à prendre dans le cas où des prêtres seraient accusés de fautes graves, et notamment d'avoir utilisé le sacrement de pénitence pour faire des avances sexuelles à des pénitents. D'après ce document, tout catholique doit obligatoirement dénoncer aux autorités ecclésiales une telle faute commise par un prêtre. Le prêtre peut alors être jugé par un tribunal ecclésiastique. (...) Cette lettre n'envisage pas le recours à une juridiction civile.

Le Vatican n'a-t-il rien fait pour lutter contre la pédophilie ?
http://bit.ly/1nYOS0Y
Ce n'est pas de la colère ni de la tristesse mais plutôt de l'agacement que provoque le rapport du Comité des droits de l'enfant de l'ONU du 5 février (2014) qui prononce un verdict sans appel : « Le Saint-Siège n'a pas réussi à garantir le droit des enfants ». Du côté des victimes, c'est le soulagement : « Nous sommes récompensés de voir que l’ONU a pris la chose aussi sérieusement », commente à New York Barbara Blaine, présidente du Réseau de survivants abusés par des prêtres (SNAP) pour l'AFP. « Plus les organisations internationales et les gouvernements s’impliqueront, plus vite nous pourrons mettre fin aux pratiques du Vatican », a-t-elle affirmé. Du côté de Rome, en revanche, la sobriété de la réponse tranche avec la virulence des reproches : ainsi, dans un communiqué, le Vatican signale qu'il « prend acte » des observations du Comité, qui feront l'objet « d'une étude minutieuse et d'un examen dans le plein respect de la Convention ». CLIP - De nombreux commentaires intéressants complètent cet article.




EN COMPLÉMENT, UNE SECTION D'ARTICLES ET DE DOCUMENT EN ANGLAIS

“Find out just what people will submit to, and you have found out the exact amount of injustice and wrong which will be imposed upon them; and these will continue until they are resisted with either words or blows, or both. The limits of tyrants are prescribed by the endurance of those whom they oppress.”

- Frederick Douglass.

Mass Murder of Canadian Children Admitted (April 1, 2014)
http://bit.ly/1pEXxa0
(...) Seventeen years after Rev. Kevin Annett publicly disclosed evidence that over 50,000 children died in Canada’s church-run “Indian residential schools”, Canadian governments have finally confirmed this genocidal mortality rate after releasing hitherto-concealed death records from the schools. Until this week, government and church officials have either denied or stayed silent about Rev. Annett’s documented estimate. But previously “segregated” statistics of the deaths of residential school children made public last Friday by different provinces indicate that “tens of thousands” of these children died in the facilities, which were operated primarily by the Roman Catholic, Anglican and United Church of Canada. In British Columbia alone, government records indicate that nearly 5,000 children between the ages of four and nineteen died in the residential schools until 1956, although the schools continued in operation until 1996, putting the total death figure even higher.

Rev. Annett’s research established that the high death rate of over 40% of the students was the result of deliberately infecting them with tuberculosis and denying the sick treatment. “This news officially confirms what our Court established in its lawful verdict of February 25, 2013” stated George Dufort of the International Common Law Court of Justice in Brussels today. “Canada and its churches, the British Crown and the Vatican stand guilty as charged as disestablished criminal bodies and can no longer have any lawful or legitimate constitutional authority if the rule of law is to be followed”. This week’s official admission of massive deaths in the Indian residential schools comes on the heels of shocking new evidence showing that a Vatican and Church of England child sacrifice cult known as the Ninth Circle operated at the same schools for over a century, including at the Mohawk residential school in Brantford, Ontario. CLIP

Dans la Gazette de Montréal - Exhibit displays painful truth of Canada’s residential school system -- Puts focus on atrocities committed against aboriginal children (March 27, 2014)
http://bit.ly/1pMg7AL
Visitors to Montreal’s Holocaust Memorial Centre next month can learn about another mass atrocity that happened closer to home, and targeted aboriginal children for more than 100 years across Canada.Called 100 Years of Loss — The Residential School System in Canada, the temporary exhibit will be displayed at the Montreal Holocaust Memorial Centre on Côte-Ste-Catherine Rd. in Côte-des-Neiges from April 4 to May 1.Put on by the Legacy of Hope Foundation (www.legacyofhope.ca), the exhibit displays archival photographs and documents to show the systematic weeding out of aboriginal children from their families in an attempt to, as one bureaucrat stated, “take the Indian out of the child.” Over the course of more than a century, tens of thousands of First Nations, Métis and Inuit children were wrenched from their families and communities, and sent away to boarding schools run by religious groups and funded by the federal government. Though the schools were winding down by the 1970s, the last of them did not close until 1996. In all, 150,000 children attended the schools over the years, and many endured deplorable living conditions, with death rates in some ranging from 25 per cent to 75 per cent.

(...) “Some organizations call (the residential schools) a genocide or a cultural genocide,” Jannard said. “But I think everyone agrees this is a mass atrocity crime against humanity.” He said there are many parallels that can be drawn with the Jewish Holocaust, in which 6 million Jews were exterminated by the Nazis during the Second World War. “The common thread between the events is really about the intent of the state to destroy a group or a culture, and the state’s effort to consciously make a group disappear,” he said. “Of course, the methods and scope are different, but the will to destroy a group, justified by the belief that one race of humans is superior to another, is the same.” Bolam agreed. “Similar to the Holocaust, this is something that we can never forget, and something that Indigenous people are still trying to heal from,” she said. “It’s one of the instances of genocide that specifically targeted children. It went on for generations. It was government policy, and it was mandatory for most children.“I think we really stand in solidarity with survivors of the Holocaust and people who remain advocates. We’re advocates too. We want to make sure these things never happen again.”

Tens of thousands First Nation children died in residential schools (March 30, 2014)
http://bit.ly/1rMepgb
The death records of tens of thousands of First Nations children who died during the time residential schools were operating in Canada have been handed over to the Truth and Reconciliation Commission.Several provincial governments gave up the records to the commission, which will now cross-reference the information with student lists to determine who among the children died while in the care of the church-run schools and where they might be buried. CLIP

Canada: It Cannot be called anything less than Genocide (April 5, 2014)
http://bit.ly/1iynhEF
The United Nations Convention on the Prevention and Punishment of the Crime of Genocide (CPPCG) was adopted on December 9, 1948. It gives very a clear definition of what is and what is not a genocide. Stated another way, since 1948, social scientists have had the necessary tools to determine if genocide has occurred. [It should also be pointed out that under the CPPCG, actions committed with the intention to commit genocide is itself a crime, and not just the act of genocide]. It’s clear that Canada’s first Prime Minister Sir John A. MacDonald’s policy of starving First Nations to death in order to make way for the western expansion of European settlers meets the criteria of genocide under the CPPCG. Similarly, the entire residential school system also passes the genocide test, in particular if you consider the fact that the Department of Indian Affairs, headed by Duncan Campbell Scott, deliberately ignored the recommendations of Peter Bryce, Canada’s first Chief Medical Officer, regarding the spread of tuberculosis in the schools. Such willful disregard for the basic principles of public health constitutes an act of genocide by omission, if not deliberate commission. Aboriginal children were deliberately starved in the 1940s and ’50s by government researchers in the name of science. Milk rations were halved for years at residential schools across the country. Essential vitamins were kept from people who needed them.Dental services were withheld because gum health was a measuring tool for scientists and dental care would distort research. For over a decade, aboriginal children and adults were unknowingly subjected to nutritional experiments by Canadian government bureaucrats. CLIP

Stolen Nation (March 30, 2014)
http://westcoastnativenews.com/stolen-nation/
For more than 20 years, Canada took native children from their homes and placed them with white families. Now a lost generation want its history back -- When former Indian Affairs Minister Jane Stewart made her historic apology to the aboriginal peoples of Canada on Jan. 8, 1998, she singled out native residential schools as the most reprehensible example of Canada’s degrading and paternalistic Indian policies. Designed to assimilate native children into English ways and strip them of their language and culture, the schools also became notorious for sickening physical and sexual abuse.Though none would disagree with Stewart’s condemnation of residential schools, which were phased out in the 1960s, some wondered why she didn’t also apologize for the equally assimilationist — if less well-known — strategy that followed immediately in the schools’ wake: the widespread adoption of aboriginal children out to non-native families in the ’60s, ’70s and early ’80s. Commonly referred to as the Sixties Scoop, the practice of removing large numbers of aboriginal children from their families and giving them over to white middle-class parents was discontinued in the mid-’80s, after Ontario chiefs passed resolutions against it and a Manitoba judicial inquiry harshly condemned it. CLIP

The abuse continues to THIS DAY and is still covered up by the federal government and concealed from the public by the propaganda media machine ...

Canada Suspends Commonwealth Funds For Next Two Years (April 15th, 2014)
http://bit.ly/1iZSH2Q
(...) Talking about the 21st century, HRW has prepared a report which alleged widespread abuse of ‘first nation’ women in British Columbia by members of the Royal Canadian Mounted Police in 2013. Many say victim numbers would exceed 600. So, HRW hoped Prime Minister Harper would start a national inquiry into the problem of murdered and missing ‘first nation’ women across Canada. But Harper merely demanded that the alleged victims of police abuse come forward and be identified. Is that an action by a protector of human rights? Terrified for their safety, and in some cases their lives, if they speak out publicly not many turned up for the inquiry that followed. In the 90-page report after 87 interviews with 50 indigenous women and girls between the ages of 15 and 60 in10 British Columbia aboriginal communities, one woman alleged she was gang-raped by four officers in 2011. The report’s findings include allegations that said “They threatened to kill me and make it look like an accident.” Two 12-year-old girls said they were Tasered. Another youth said he was pepper-sprayed. Another said, she was attacked by a police dog. A ‘first nation’ woman alleged she was arrested and taken to a basement stripped, drugged and sodomized her, then threatened to murder or disappear” her family members if exposed. Likewise, many ‘first nation’ women who say they were abused by the police fear retribution if they report the crimes. There are more than 600 cases of missing or murdered ‘first nation’ women in Canada, says the leading missing-women advocate Gladys Radek co-founded the group Walk4Justice after her niece, Tamara Chipman who disappeared along northern British Columbia’s Highway. Native Women’s Association of Canada says it had a list of 582 missing women and girls from 2005 to 2010. What a laugh, Baird accuses Sri Lanka for failing to take meaningful action on human rights, political reconciliation and accountability. Baird should go look for the culprit in the mirror.

In the Edmonton Examiner : Thousands of aboriginals gathered for the final Truth and Reconciliation Commission national event seeking truth and healing (April 4, 2014)
http://bit.ly/QSQ0bO
(...) In an effort to assimilate aboriginal people with Canada’s white European-Canadian society by effectively destroying their culture altogether, the Canadian federal government’s Department of Indian Affairs in partnership with Christian church organizations created Indian residential schools. Between the late 1800s and 1996, aboriginal children were taken from their families and communities to be indoctrinated into white society. Around 150,000 first nations children passed through the residential school system, and at least 4,000 died while in a residential school. (NOTE HOW THE MAINSTREAM MEDIA HIDE THE REAL SCOPE OF THIS ABOMINATION - THIS GENOCIDE KILLED AT LEAST 50,000 CHILDREN - NOT 4000! THE FRENCH MEDIA ARE EVEN WORST - NOT A WORD ABOUT THIS!)
“Fear was an every day occurrence,” said Martha Marsden as she shared her story during the Commissioners Sharing Panel on the first day of Edmonton’s TRC event, adding, “there was no peace, no love, only fear.”Not only did students of these residential schools suffer the crippling loss of their family, culture and language, many suffered physical, emotional and even sexual abuse.Residential school survivor Myrtle Calahasen, who said she still suffers ongoing headaches as a result of blows to the head she received from the “evil people,” who would beat her for speaking her native Cree language, described it as being, “taken out of a comfortable, loving home and put in a hell hole.” When students did return to their communities they too were broken, many parents and relatives resorting to alcoholism to numb the pain of their loss. In 2008, Prime Minister Stephen Harper offered an official apology on behalf of the Canadian government for what has been described by some as a cultural genocide. The same year, the government established the Indian Residential Schools Truth and Reconciliation Commission as a way to gather statements from survivors and those affected to uncover the full truth about residential schools, a truth that had previously been kept silent. Seven generations of aboriginal children suffered through the residential school system, and the pain still lingers in both survivors and the generations that came after them. CLIP

Trial of the Century Launched?
http://bit.ly/1kCbcLZ
(...) Jorge Bergoglio (a.k.a. “Pope Francis”), Adolfo Pachon (Jesuit Superior General) and Justin Welby (Archbishop of Canterbury) will stand trial in absentia on Monday, April 7, after refusing to challenge or deny the criminal charges made against them in the Trial Division of the Common Law Court of Justice in Brussels. The Prosecutor’s Office will commence its case against these three chief defendants on that day and will present evidence linking them to the trafficking, torture and death of children, and to the concealment of these crimes.
(...) The OCP has found considerable evidence linking the defendants with the operation and protection of a global child trafficking network involving the routine and systematic kidnapping, rape, torture and sacrificial murder of newborn infants and children up to age fourteen. The documented ring known as the Ninth Circle involving the defendants and former Popes John Paul II and Benedict is one manifestation of this network. The Circle operates according to a canon law statute designated as The Magisterial Privilege, which is filed within the sealed archives of the Vatican library. An obtained copy of this statute is entered as evidence by the OCP. The Ninth Circle is globally-based and centuries old, operating at Roman Catholic cathedrals in Montreal, New York, Rome, London and dozens of other locations, including at protected forest groves in America, Canada, France and Holland. It routinely utilizes children taken from Catholic orphanages, adoption agencies, hospitals and schools. The OCP has documented one such operation at the former Church of England/Jesuit-run Mohawk Indian Residential School in Brantford, Ontario, Canada. The routine rape, torture and sacrificial killing of aboriginal children associated with the Mohawk Confederacy began with the opening of the facility in 1832 and continues to the present day in sub-basement vaults.

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